la pomme noire

j'aimerai savoir si ça vaut le coup de continuer ce texte. merci d'avance.


ChapitreI:

Lie se retourne dans son lit. La nouvelle que vient d'apprendre le président de la république à la France entière n'est pas rassurante. Cette journée avait pourtant commencée comme n'importe quel jour...
***
Le réveil sonna à six heure trente. Lie le fit taire d'un coup de poing, reportant toujours à quelques minutes son lever. Elle finit tout de même par se décider. Les yeux à demi clos, les cheveux tel une crinière et le pas trainant, elle ressemblait à un zombie. Après s'être coiffée, lavée et avoir englouti son petit déjeuner en moins de dix minutes, elle prit son sac de cours et enfourcha son vélo.
Avant elleprenait la voiture, mais désormais, c'était interdit. La pollution a atteint un point où on ne peut plus se contenter de brandir des banderoles vertes.
Le collège Voltaire ne se trouve pas loin de chez elle. Elle arriva très vite. Une journée monotone commençait. Huit à neuf heures: sport; neuf à dix: français; dix à onze: maths... C'est dans ce cours que quelque chose d'inhabituel se produisit.

Le prof était au tableau en train d'écrire la leçon sur « le cosinus d'un angle » lorsque des bruits derrière elle se firent entendre. Lucas, un élève, était sur sa chaise, assis, (jusque là, rien d'anormal mais tout change si je vous dis aussi qu'il essayait avec difficulté de respirer. Il leva ses mains à son visage pâle, presque blanc. Son corps fut secoué de violents spasmes. Tout ça ne se déroula qu'en quelques secondes. Il retomba inerte sur son cahier. La prof, Mme Suret, faillit hurler. Elle se retint pour ne pas céder à la panique et montrer l'exemple à ses élèves. Elle courut à la table du pauvre Lucas dont le regard était désormais fixe et vitreux.
_ Lucas! Lucas! Mélanie, va chercher l'infirlière! Dépêche toi!
Les autres élèves sortirent leur masque à gaz de leur cartable. Tout le monde savait de quoi souffrait leur camarade. Il appelait ça le nuage de carbone. D'ailleurs, ce nom résume bien les thermes scientifiques incompréhensibles. Le CO2 rejetés des voitures ne se propage pas, l'air est devenu trop épais, alors comme un nuage, il se déplace. Un nuage...oui, mais un nuage tros bas. Ceux qui ont le malheur de le respirersont intoxiqués. Le fait que ce fléaut soit invisible n'arrange, évidemment rien.

Alors je ne peux pas vraiment te dire si ça vaut le coup de continuer car j'en ai lu trop peu... Mais c'est un bon début !! ^^ Si tu pouvais me donner un petit résumé de l'histoire je pourrais au moins te dire si c'est un bon sujet ! Mais ce ne serait que mon avis...

Sinon j'ai remarqué dans ton écriture des phrases trop alambiquée qui font que bon, c'est mal tourné :

Citation :

La nouvelle que vient d'apprendre le président de la république à la France entière n'est pas rassurante.

Il aurait mieux valu tourner ça plus simplement : " La nouvelle que le président de la république venait d'apprendre à la France n'était pas rassurante."

Enfin voilà ce n'est qu'un exemple mais c'est pas trop grave !

En tout cas ça a l'air très interessant ! ^^

merci mikaela.

voici un petit résumé:
la terre se retrouve dans une situation délicate, l'air est irréspirable, l'eau rarisime. La population terrienne doit partir. où? sur une planète inconnue qui à l'air d'etre similaire à la terre. la voyage se fait à une vitesse proche de celle de la lumière se qui fait que les passagers voit le temps passer exécivement rapidement. Le voyage doit durer 4ans mais pour un etre humain le temps se compte en secondes. (ce n'est pas de la fiction c'est du réél sur ce point, j'ai vérifié) Mais est ce que l'humanité pourra redevenir ce qu'elle était auparavant? Est ce qu'elle pourra survivre sur une planète qui n'est pas la sienne?

Dans l'après midi, le principal s'invita au cours d'anglais.
_Votre camarade Lucas est...est mort.
Il baissa les yeux et repris.
_Pour éviter que cet incident ne se reproduise, j'ajoute une consigne dans le règlement interieur: tout élève doit porter en permanence son masque à gaz dans l'établissement. Notez ça dans votre carnet de correspondence. A faire signer pour demain.
L'immence silence qui régnait dans la classe parut intimider le principal qui s'en retourna sur un « aurevoir » précipité.
La prof prit la relève.
_ Vous avez entendus? Mettez vos masques!
Tous s'éxécutèrent.
***
_ N'empêche, le pauvre!
_Ce soir, on devait aller tous les deux à son nouveau jeux vidéo...
Dans le collège, tout le monde parlait du même sujet. En fin d'après midi, des journalistes vinrent pour faire un reportage. La journée fut longue et pénible pour les amis de Lucas. Pour les autres, c'était une journée palpitante qui sortait de l'ordinaire.

La sonnerie de dix sept heures retentit enfin. Lie sortait de la salle de cours, regardant ses pieds.
_Lie! Attends!
Elle se retourna. C'était Alex, la délégué de sa classe. Elle lui donna une petite feuille photocopiée.
_La prof principale m'a chargé de distribuer ça. C'est...c'est au sujet de Lucas.
La feuille changea de paire de mains et Lie se retrouva seule avec ce bout de papier, dans le couloir du collège. « on identifie souvent le voyage vers l'au delà à un couloir, comme celui ci. » se dit elle avant de baisser les yeux afin de lire ce que ce coupon disait.
« Les élèves de 4G sont invités à l'enterrement de leur camarade Lucas Sari le 5 février 2015 au cimetière Montmartre.
Madame Sori »
Pour Lie, Lucas n'était qu'un garçon de sa classe, rien de plus, rien de moins. Mais ce qui lui était arrivé sous les yeux de vingt six personnes sans qu'aucune d'entre elles n'ai pu le sauvait, lui faisait peur.
Le retour se fit sans encombre.
Au souper, ses parents la mirent en garde.
_ Jamais plus tu n'enlèveras ce masque, au collège, quand tu rentres et aussi pour dormir!
_Et pour manger? Répliqua Lie avec une pincée d'insolence.
_ Mange le plus vite possible! Et que je ne te prenne pas en train de désobéir!
Lie ne fut pas choquée par ces propos. Elle s'y attendait. Ses parents devenaient très protecteur envers leur fille unique à cause de tous ces morts subit par la faute d'un malheureux nuage... Après avoir aidés ses parents à débarasser, elle s'assit à leur côté devant la télé, comme d'habitude. Sa famille suivait de très près l'actualité. « C'est le point commun de toute l'humanité. Ça nous concerne tous. » disait souvent son père. Du coup, entre dix neuf et vingt heures, il était hors de question de réviser ou de lire...non! Toute la famille prenait une bonne tasse de thé devant les infos du soir, balançant par ci par là des commentaires tel que:
« N'importe quoi! » ou « Bah, voilà quelque chose de bien! »En bref des commentaires totalement inutiles et injustifiés mais qu'on se sent obligé de dire.
Le journaliste parlait d'un ton neutre, les yeux sur la caméra comme pour discutait du goût de son café du matin:
« Monsieur le président nous fait une déclaration... » Lie se demande comment fait le journaliste pour garder son calme, parcequ'il faut dire que le président de la république ne sort de son beau palais de l'Elisée seulement en cas d'urgence extrême car il n'aime pas se déplacer.
« Depuis qu'il a été élu, il menne la grande vie!
_ On racont qu'il a pris douze kilos depuis!
_ Il ferait bien de profiter de ses cinq ans de quasi royauté parcequ'il ne sera pas réélu! » disaient les grands mères à potins.
La marseillaise retentit pendant quelques secondes avant que le président, qui s'était mis sur son trente et un apparut.
Il prit son air grave et responsable pour commencer son discour.

C,est pas mal du tout...Et le titre a piqué ma curiosité ^^