Bon bon bon, je viens de retrouver un texte dans mes archives, dites-moi ce que vous en pensez, soyez franc, j'aime mieux un commentaire qui dit que c'est pas bon mais qui est vrai qu'un mensonge.
Il avançait dans la rue de San Brose, les mains dans les poches, la barbe mal rasée, les cheveux non peignés les mêmes vêtements que ces 10 derniers jours. Étourdis, il marchait de croche, fatigué il n'en pouvait plus, il sortit sa bouteille ''Barnier IV'' et en calla une gorgée, le goût chaud et réconfortant lui coulait dans la gorge. La bouffée de chaleur lui redonna du courage et il continua à marcher de plus en plus vite. La nuit était calme et sombre, sa vue s'embrouillait et il du arrêter quelques instants. Il vomit sur la pierre, l'odeur d'alcool et de choux pourris qu'il avait mangé juste avant lui arriva au nez et lui redonna la nausée, il vomit encore. Après s'être essuyé la bouche, il vida la bouteille de rhum et tenta de finir sa marche qui allait conclure l'aventure morne et décevante de sa vie. Abattu, affamé, malade il ne pu faire 2 pas de plus et s'effondra sur la pierre. Le sang s'échappa de sa bouche, et s'arrêta quelques secondes après.
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1627 Paris, France
''-Voila un beau coup!
-Ah, et je n'ai pas fini!''
Les coups se donnaient d'un homme à un autre dans la riche deumeure des Delacour. Thierry, le fils du richissime Martin, se battait contre son cousin. Depuis toujours, Thierry était un expert d'escrime, son cousin, Victor, plutôt intellectuel, se livrait à ce jeu plus pour le triomphe personnel de Thierry que pour son plaisir.
''- Bon, tu as gagné Thierry, bravo !
- Encore une fois!
- Oui, comme toujours. dit-il avec un sourire en coin.
- Ta visite sera longue. demanda Thierry avec un sourire de triomphe.
- Le temps que sa se calme côté politique dans mon coin de pays.
- Alors a Larochelle, sa brasse?
- Tu ne peux pas t'imaginer, en plus, mon père s'en mêle, je fais bien de venir à Paris. J'espère que je ne te dérange pas? demanda-t-il sans aucune gêne.
- Non, sa va, et de plus, sa fait longtemps que toi et moi on s'est duel.
- Oui, merci de ton hospitalité, tu remerciera ton père pour moi.''
En effet, les problèmes politiques de la France était assez mouvementés dans le coin de Larochelle, siège protestant mis en place par l'ancêtre de Victor il y a près de 500 ans de cela. Le roi Louis XIII avait décidé de mettre fin a ce règne de protestant qui avaient donné les privilèges politique a cette famille ainsi qu'aux habitants de cet endroit. ''Une politique de rétablissement de l'autorité militaire de l'État'' Avait-il dit avant de s'engendrer dans une guerre qui allait durer près de 1 an.
Ce port, dernière place de sûreté des huguenots, reçu de mer, l'aide des anglais, prompts à intervenir lorsqu'il s'agit de mettre en péril le pouvoir de leur grand rival. Richelieu menait l'assaut, et sa principale crainte était que cette place forte devienne une sorte de seconde capitale, bastion d'où les protestants, aidés financièrement par l'Angleterre, pourraient s'emparer de l'ensemble du territoire. Sa décision était donc prise: Il fallait prendre Larochelle sans tarder.
Les deux cousins dévêtirent leur tunique d'escrime et sortirent. Dans les rues achalandées de Paris, discutant du siège qui venait d'être lancé.
''- Cet enfant de pute de Richelieu vient de lancer son assaut sur Larochelle, mon père ne baissera pas les bras, il a l'aide d'un duc d'angleterre. George Villiers, le duc de Buckingham, on a 110 bateaux et 6 000 hommes prêts à défendre nos terres protestantes. Mon père croit que je suis partit voir ma mère en Normandie, car il n'accepterait pas que j'aie voir un catholique ''allié'' a Richelieu.
- Ne me dis pas que ta famille est alliée au Anglais!? Ce sont nos ennemis depuis toujours, ces saletés de chiens ne viendront sûrement pas prendre d’autres territoires Français! Victor, moi qui aimait ta famille, ne me fais tout de même pas cette honte...
- Sans les Anglais, ma famille ainsi que nos terres, notre culture et la religion protestante en France perdrait son poste Protestant le plus important. Et, contrairement a ce que tu pourrais croire, les Anglais ne sont pas des gens sans scrupules qui ne veulent que la fin des Français, tu devrais écouter les dires du représentant du Duc qui est venu nous parler avant mon départ, il a de bonnes idées.
- Euh, et bien, peu importe, je trouverai toujours que les anglais sont des chiens vicieux et sans scrupules. Mais bon, cessons de parler de cela a voix haute, on pourrait nous entendre, et tu aurais des problèmes...
- Au fait, ou allons-nous comme cela? Demanda-t-il, environs 5 minutes après être sortit
- Te changer les idées.''
Thierry, un sourire en coin, il démontra d’un geste sarcastiquement gracieux la porte d’un endroit miteux. Victor fit un pas en avant et entra dans la batisse. Le vieux plancher craquais sous ses pas, un femme habillé etrangement et couverte de maquillage arriva des escalier.
''- Bonsoir Thierry, tu viens avec un ami a ce que je vois? dit la femme que Victor qualifia de laide.
- Oui, je lui fait découvrir les plaisirs subtiles de Paris. dit-il en riant.''
La femme leur montra l'escalier et leur fit signe de monter. Rendu a l'étage supérieur, plusieurs femmes nues attendaient, assisent sur des lits.
''- Toi, dit Thierry en pointant une des femmes, Tu vas venir avec moi.''
Victor, mal a l'aise fixa les femmes une après l'autre. Le problème etant que, il y a de cela près de 2 ans, il avait compris par lui-même, que ce n'étais pas les femmes qui l'interessaient. Et depuis, il refusait souvent d'avoir comme épouse les femmes que sont père lui présentait.
C'est tout ce que j'ai trouver, je dois aller chercher la suite plus profondement dans mes archives, jdevrais l'avoir d'ici peu. Mais, dites-moi ce que vous en pensez..
Mais si vous trouvez ça bien, jvais surement continuer alors.
